Pour ma part, après toutes les études faites personnellement sur différentes sciences, les superstitions, ne sont tout simplement que des coïncidences ! Mais en réalité du bla-bla ! C'est mon avis ! Mais je respecte celles ou ceux qui y croient, car peu importe, rien n'arrive de supersticieux !
Mais plus par coïncidences , bizarres parfois certes, mais coïncidences .
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Lorsque ce sujet m’a été proposé, j’ai accepté avec le sourire, naïf que j’étais. Je n’avais pas conscience que parler de superstition, même un vendredi 13, c’est aborder une notion qui n’est pas si facile à cerner. Car quelle définition en donner ? Nous serions certainement tous d’accord avec la définition la plus populaire : être superstitieux, c’est attribuer à quelque chose (une date, un objet, un lieu, une personne, etc.) le pouvoir de porter malheur ou de porter chance. C’est le cas de notre vendredi qui, selon les gens et les besoins porte la poisse pour certains et apporte le gros lot à d’autres. Les cas d’ambivalence semblable ne sont pas rares. Pensons aux araignées, du matin chagrin et du soir espoir… Sous cette définition on peut ranger bien des choses pour faire un inventaire à la Prévert : les chats noirs qui traversent et les corbeaux dans le ciel, passer sous une échelle et cueillir un trèfle à quatre feuilles, se lever du pied gauche et marcher dans la crotte…
Avant d’aller plus loin, essayons de cerner ce à quoi cela correspond. Il s’agit d’une croyance plus ou moins forte qui se caractérise par son caractère largement gratuit. Elle n’a pas de raison et bien des gens qui y croient aujourd’hui ne chercheraient pas à la justifier et y croient sans y croire. Son unique fondement pourrait être l’expérience : « je me suis aperçu que lorsque je passais sous une échelle, j’avais plus de chances de recevoir le pot de peinture qu’en la contournant ». Là, la superstition frise la simple prudence. Mais affirmer cela consciemment, ce serait déjà quitter le terrain de la superstition. Ou encore : « chaque fois qu’un chat noir passe devant moi, c’est signe qu’il va m’arriver quelque chose de mauvais ». C’est dans ce sens que Jean Cocteau disait : « La superstition est l’art de se mettre en règle avec les coïncidence »
Il s’agit donc d’une croyance sans raisons solides et souvent même reconnue sans raisons par ceux-là mêmes qui l’adoptent. Reconnaissons qu’elle est de tout temps ; les auteurs antiques en parlent déjà. Elle a longtemps été liée à ce que l’on considérait comme des mentalités primitives, mais on la retrouve tout aussi bien aujourd’hui un peu partout. Pourquoi cette permanence ?
( à suivre ! )
Michel